Bethesda avait fait sensation à l’E3 2016 en faisant renaître de ses cendres la licence Prey. Le projet Prey 2 (dont on vous parlait il y a plusieurs années maintenant) a définitivement rejoint la poubelle et c’est l’excellent studio français Arkane (via son antenne d’Austin) qui a repris le bébé en nous proposant un reboot complet plutôt qu’une suite.
Nous avons pu nous essayer au début du jeu et expérimenter son monde libre pendant presque 2 heures, voici nos premières impressions sur Prey…
On l’avait déjà vu lors des différentes présentations mais cette fois, c’est certain, Prey (dans sa version Arkane) ne reprend presque rien du jeu d’origine si ce n’est son concept spatial et c’est tant mieux.
Le studio Arkane (dont la branche française est responsable entre autres de Dishonored) a déjà démontré dans le passé son grand talent de créateur d’univers.
On démarre le jeu en choisissant son sexe (même si dans ma session de jeu, ce choix n’a pas eu beaucoup d’influence) avant de se réveiller dans sa chambre tandis qu’une voix nous propose d’enfiler notre combinaison et de nous rendre au site de test par hélicoptère. Une fois sur place, on répond à des questions bien vicelardes avant que les choses ne dégénèrent.
Je ne vous dirai rien de plus du scénario pour ne pas spoiler tant l’introduction de ce jeu m’a semblé réussie. On y retrouve tous les ingrédients de la bonne science-fiction et si la suite du scénario maintient la barre, on peut s’attendre à un petit bijou pour amoureux de science-fiction « intelligente ».
Un élément clé de l’histoire concerne bien entendu les mystérieux aliens déjà présentés auparavant par Arkane dans les trailers. Ils semblent tous constitués d’une matière noire bien visqueuse et peuvent se fondre dans le décor en prenant l’apparence des objets du quotidien (tasse, chaise, etc). Idéal pour nous sauter à la gorge au moment où l’on s’y attend le moins.
Je n’ai pas eu l’occasion de le tester moi-même dans la démo mais notre héros va d’une manière ou d’une autre apprendre cette compétence alien et pouvoir ainsi se muer en objet inanimé pour passer des obstacles infranchissables. Une vraie curiosité que je suis impatient de tester moi-même. Ceci dit, au fond d’un tiroir, j’ai trouvé une espèce de pistolet NERF. Il n’a aucune utilité contre les aliens mais je suis certain qu’il pourra nous servir en nous transformant en fléchettes. L’idée de génie !
Vous l’aurez compris, notre héros peut gagner des compétences. Ceci se réalise en installant des neuromods et ainsi booster ses capacités de hacking, sa résistance, etc.
Prey irradie d’ailleurs d’un « je ne sais quoi » de Bioshock ou de Deus Ex (pré-reboot). Vous avouerez qu’il y a pire comme référence !
Visuellement, on retrouve la patte Arkane dans le souci du détail des décors mais surtout dans le design des personnages. Un peu comme si Dishonored avait subi un lifting SF…
J’avais déjà insisté lourdement sur le talent artistique exceptionnel des équipes d’Arkane à Lyon mais clairement leur studio d’Austin bénéficie du même ADN et d’un souci du détail exceptionnel. L’univers de Prey, sa station spatiale (ou plutôt ses stations spatiales puisque l’on peut se déplacer de l’une à l’autre) et ses aliens mystérieux promettent un jeu visuellement intriguant. Un petit mot sur la musique aussi qui mélange harmonieusement électro et mystère.
Côté Gameplay, ce que j’ai vu semble pour l’instant un peu trop encourager le joueur à foncer dans l’action « style FPS » mais de nombreuses autres solutions existent et seront certainement mises en avant dans la suite du jeu. Dès le début, l’ensemble des stations spatiales de l’univers de Prey est accessible, on peut se promener où l’on en a envie et explorer ce que l’on veut en suivant le scénario ou pas. Arkane a quand même installé des garde-fous comme des portes dont on n’a pas la clé ou des ennemis surpuissants si on n’avance pas un minimum dans le scénario avant de les affronter.
L’impression de liberté est excellente même si on se sent gentiment poussé dans la direction du scénario si on se perd un peu en cours de route (non, je ne dis pas ça pour moi !).
Rien qu’en explorant la petit zone accessible dans la démo, on découvre vite de nombreux chemins de traverse qui annoncent un gameplay au moins aussi riche que celui de Dishonored.
Pour conclure ces premières impressions après une prise en main courte mais intense de Prey, Arkane est sur la bonne voie pour signer un jeu qui attirera autant les fans de gameplay à la Dishonored que les amateurs de bon scénario de science-fiction. Il est encore un peu tôt pour juger du niveau de liberté qui nous sera offert dans la version finale ou pour nous rassurer quant au côté très « Action » de ces premières heures de jeu mais l’ambiance oppressante et l’immersion spatiale est déjà une pleine réussite.
Voilà qui n’annonce que du bon alors que les développeurs disposent encore de quelques mois de développement pour tout fignoler.
Prey sera disponible le 5 Mai prochain sur PS4, Xbox One et PC.
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